Le vaccin reste la seule solution actuellement.

Quelle alternative face au COVID ?

Ecrit par Jean-Marc Seyler

Pour l’instant à part le vaccin, il n’existe pas d’autre solution.

Il existe bien un médicament en phase d’étude mais il n’est pas validé.

Si nous voulons vivre normalement il faut bien trouver une solution médicale en attendant une éventuelle immunité collective. Des vaccins sont maintenant à notre disposition. Des interrogations subsistent quant à leur efficacité, leur composition et leurs effets.

Il est clairement démontré que l’on sait ce que contienne ces vaccins, ils ne modifient pas notre patrimoine génétique.

Ils ont été mis au point rapidement car la technique de l’ARN messager ne date pas d’aujourd’hui. Les procédures de validation ont été raccourci et le nombre important de volontaires y est pour quelque chose et pour terminer les fonds pour lancer le produit ont été élevés et rapides.

Sur les effets indésirables, il y en a comme pour tout médicament ou traitement. Ils ne sont pas plus important. Par rapport au nombre de personnes vaccinées cela reste extrêmement faible.

« On n’a pas assez de recul » Cette phrase souvent entendue a quelque chose de sordide. D’une part, quand on va se faire opérer à l’hôpital, même pour une opération bénigne, savons-nous ce qui va en ressortir ? Pourtant on le fait car on n’a pas trop le choix. D’autre part, dans l’histoire de la vaccination, aucun vaccin n’a produit d’effets secondaires sérieux détectés par les autorités de pharmacovigilance au delà de deux à trois mois après l’injection.

Je ne comprends pas ces réticences à mettre toutes les chances de notre coté pour retrouver une vie normale. C’est vrai que les déclarations et les prises de positions de notre gouvernement peuvent générer de telles réticences. Le langage n’a pas toujours été clair et souvent contradictoire. La santé au main de l’argent roi met en doute la santé pour tous, pour l’humain. On ne peut accepter que face à cette pandémie les pouvoirs politiques n’ont toujours pas déclarés le vaccin comme « bien public mondial ». Les pays riches se réservent leurs doses pendant que tout un pan de l’humanité n’y ont pas accès. Mais là aussi, si une grande partie de la planète n’est pas vaccinée la pandémie survivra.

Sur la question du pass sanitaire, il est préférable de convaincre plus que d’imposer surtout que les sanctions auront un effet tout aussi dévastateur. Le vaccin doit être accessible à toutes et tous.

Pour finir, la question des moyens attribués à la santé, aux hôpitaux publics reste au cœur de ce que nous vivons. La santé doit vraiment être considérée « quoiqu’il en coûte ».

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